AMO-TE BENFICA
segunda-feira, 10 de maio de 2010
quarta-feira, 21 de abril de 2010
segunda-feira, 12 de abril de 2010
Serge Gainsbourg - Variations sur Marilou
Dans son regard absent et son iris absinthe,
Tandis que Marilou s'amuse à faire des volutes de sèches au menthol,
Entre deux bulles de comic strip,
Tout en jouant avec le zip De ses "levi's"
Je lis le vice et je pense à Carol Lewis.
Dans son regard absent et son iris absinthe,
Tandis que Marilou s'évertue à faire des volutes de sèches au menthol,
Entre deux bulles de comic strip,
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses "levi's"
Dans son regard absent et son iris absinthe dis je,
Je lis le vice de baby doll,
Et je pense à Lewis Carroll.
Dans son regard absent et son iris absinthe,
Quand crachent les enceintes de la sono lançant,
A cor de cartes et de quintes
Tandis que Marilou s'esquinte
La santé, s'ereinte
A s'envoyer en l'air.
Lorsqu'en un songe absurde Marilou se resorbe,
Que son coma l'absorbe en pratiques obscures,
Sa pupille est absente, et son iris absinthe,
Sous ses gestes se teintent extases sous jacentes
A son regard le vice donne un coté salace,
Un peu du bleu lavasse de sa paire de "levi's"
Tandis qu'elle exhale un soupir au menthol,
Ma débile mentale perdue en son exil physique et cerebral,
Joue avec le métal de son zip et la taule de corail apparaît.
Elle s'y coca colle un doigt qui en arrêt au bord de corolle,
Est pris près du calice du vertige d'Alice de Lewis Carroll.
Lorsqu'en songes obscurs Marilou se resorbe,
Que son coma l'absorbe en des rêves absurdes,
Sa pupille s'absente, et son iris absinthe,
Subreptissement se teinte de plaisirs sans l'attente.
Perdu dans son exil physique et cerebral,
Un à un elle exhale des soupirs fébriles parfumés au menthol,
Ma débile mentale fait teinter le métal de son zip,
Et narcisse elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse de sa paire de "levi's"
Arrivée au pubis, de son sexe corail écartant la corolle,
Prise au bord du calice de Vertigo, Alice s'enfonce jusqu'à l'os,
Au pays des malices de Lewis Carroll.
Pupilles absente, iris absinthe, baby doll,
Écoute ses idoles, Jimi Hendrix, Elvis Presley, T-Rex, Alice Cooper,
Lou Reed, Les Rolling Stones elle en est folle,
La dessus cette narcisse se plonge avec délice
Dans la nuit bleue pétrole de sa paire de "levi's"
Elle arrive au pubis et très cool au mynthol,
Elle se self control son petit orifice,
Enfin poussant le vice jusqu'au bord du calice,
D'un doigt sex-symbol s'écartant la corolle,
Sur fond de rock & roll s'égare mon Alice
Aux pays des malices de Lewis Carroll
Tandis que Marilou s'amuse à faire des volutes de sèches au menthol,
Entre deux bulles de comic strip,
Tout en jouant avec le zip De ses "levi's"
Je lis le vice et je pense à Carol Lewis.
Dans son regard absent et son iris absinthe,
Tandis que Marilou s'évertue à faire des volutes de sèches au menthol,
Entre deux bulles de comic strip,
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses "levi's"
Dans son regard absent et son iris absinthe dis je,
Je lis le vice de baby doll,
Et je pense à Lewis Carroll.
Dans son regard absent et son iris absinthe,
Quand crachent les enceintes de la sono lançant,
A cor de cartes et de quintes
Tandis que Marilou s'esquinte
La santé, s'ereinte
A s'envoyer en l'air.
Lorsqu'en un songe absurde Marilou se resorbe,
Que son coma l'absorbe en pratiques obscures,
Sa pupille est absente, et son iris absinthe,
Sous ses gestes se teintent extases sous jacentes
A son regard le vice donne un coté salace,
Un peu du bleu lavasse de sa paire de "levi's"
Tandis qu'elle exhale un soupir au menthol,
Ma débile mentale perdue en son exil physique et cerebral,
Joue avec le métal de son zip et la taule de corail apparaît.
Elle s'y coca colle un doigt qui en arrêt au bord de corolle,
Est pris près du calice du vertige d'Alice de Lewis Carroll.
Lorsqu'en songes obscurs Marilou se resorbe,
Que son coma l'absorbe en des rêves absurdes,
Sa pupille s'absente, et son iris absinthe,
Subreptissement se teinte de plaisirs sans l'attente.
Perdu dans son exil physique et cerebral,
Un à un elle exhale des soupirs fébriles parfumés au menthol,
Ma débile mentale fait teinter le métal de son zip,
Et narcisse elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse de sa paire de "levi's"
Arrivée au pubis, de son sexe corail écartant la corolle,
Prise au bord du calice de Vertigo, Alice s'enfonce jusqu'à l'os,
Au pays des malices de Lewis Carroll.
Pupilles absente, iris absinthe, baby doll,
Écoute ses idoles, Jimi Hendrix, Elvis Presley, T-Rex, Alice Cooper,
Lou Reed, Les Rolling Stones elle en est folle,
La dessus cette narcisse se plonge avec délice
Dans la nuit bleue pétrole de sa paire de "levi's"
Elle arrive au pubis et très cool au mynthol,
Elle se self control son petit orifice,
Enfin poussant le vice jusqu'au bord du calice,
D'un doigt sex-symbol s'écartant la corolle,
Sur fond de rock & roll s'égare mon Alice
Aux pays des malices de Lewis Carroll
Nos últimos dias não tenho ouvido outra música. E não conhecia.
terça-feira, 6 de abril de 2010
domingo, 28 de março de 2010
quinta-feira, 25 de março de 2010
sexta-feira, 19 de março de 2010
sábado, 6 de março de 2010
Csillagosok, katonák de Miklós Jancsó
Esta é segunda vez que vejo um filme do Miklós Jancsó. Pelo que sei, tanto o primeiro que vi, Szegénylegények, como este fazem parte de uma trilogia, sendo o último desta o Csend és Kiáltás, que também quero ver num futuro próximo. Ambos os filmes contém bastantes parecenças, mas mesmo tendo gostado muito do Csillagosok, katonák, acho que está uns furos abaixo do que o Szegénylegények. Em Csillagosok, katonák, tal como no seu antecessor, Miklós Jancsó Jancsó cria longas cenas, segue as personagens, e consegue demonstrar a frieza vivida naquele ambiente de guerra. É um filme minimalista, de poucos diálogos, e que, sem margens para dúvidas, me deu vontade de conhecer o último da trilogia.
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